Il est arrivé sans faire de bruit,
Après tout, il rentrait chez lui !
Le bâton à la main,
Pour prendre le chemin.
Une besace sous le bras,
Pleine de présents, sans apparat.

Il me semble rêveur…
Comme tout à son Seigneur.
« Faire quelque chose pour la Gloire de Dieu »,
Prendre soin de tous ces malheureux…
Sans cesse dans le fond de son cœur
Le souci du frère demeure.

Le voilà donc, il nous accueille,
Il est là sur le seuil
Par tous les temps,
Jours de soleil ou de grand vent.
N’oublions pas de le saluer
Notre bon Père Foyer.
Osons-lui confier nos prières,
Il les portera au Père.

Marie-Laure